Anti-IVG, euthanasie ou mariage pour tous, le retour des catholiques conservateurs.
En France les intégristes de toutes les
religions sont à l'offensive et les droits des femmes, dont le droit à
l'IVG, sont leurs premières cibles.
Les anti-avortement sont principalement composés de mouvements
proches des milieux catholiques les plus conservateurs. Ils sont
soutenus par une partie de l’opposition de droite et par
l’extrême-droite. Ce sont les mêmes qui ont manifestés contre le mariage
homosexuel et la procréation médicalement assistée. Ils sont aussi
décidés à donner de la voix dans le débat à venir sur l’euthanasie.
En
bref, ils veulent se faire entendre sur toutes les questions éthiques.
Plusieurs milliers de militants anti-avortement ont défilé, dimanche
2 février à Paris et à Lyon. Le pape François a apporté son soutien à cette
marche. Plusieurs évêques y ont participé. Ces manifestants souvent
venus en famille, parfois avec de très jeunes enfants, ont salué
l’exemple espagnol. Car, en Espagne, à la suite de la pression des
milieux catholiques, le gouvernement a proposé de quasiment supprimer le
droit à l'avortement.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en
Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade
européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les
réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger
ce droit partout en Europe , où en Suisse un référendum aura lieu
le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80%
des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas
pratiquer l’IVG...
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la
notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur
l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans
précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques
de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public,
autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à
la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières
années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore
trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à
l’étranger.
Par
ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne,
souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne
contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les
politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où
en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser
l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de
conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une
mobilisation massive au côté des associations féministes. - See more
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Véritable recul historique en Espagne qui risque de gagner toute l'Europe...
Le projet de loi du gouvernement conservateur de Mario Rajoy prévoit
d'interdire l'accès à l'avortement. Il existe deux exceptions: en cas de
viol ayant fait l'objet d'une plainte et en cas de danger physique ou
psychique pour la femme. Ce texte devrait arriver au parlement dans les
prochains mois.
Les associations féministes, les professionnels de la planification
familiale, et les partis de gauche, ont parlé d’un retour en arrière de
30 ans. Pourtant, l’Espagne avait marqué de nombreuses avancées sur les
questions de société: la lutte contre le fléau de la violence conjugale,
la parité homme-femme ou le mariage homosexuel. Mais, c’était à
l’époque du précédent gouvernement dirigé par le socialiste José Luis
Zapatero. Aujourd’hui, les conservateurs au pouvoir, poussés par les
catholiques conservateurs, opèrent un virage à 180 degrés. Un revirement
guidé par des raisons électorales avant les élections européennes.
Le cas de l’Espagne montre qu’aucun droit n’est acquis. Les avancées
sur les questions de société ont radicalisé une partie des milieux les
plus conservateurs. Dans le cas de l’avortement, les opposants avancent
des raisons dogmatiques, parlant de "droit à la vie". Ça se remarque
notamment dans le discours des très jeunes manifestants anti-IVG, qui
crient des slogans, sans toujours les comprendre. C’est pourtant oublier
une réalité. Celle des droits individuels. Et, précisément de la
liberté des femmes à faire un choix.
VIGILANCE
Le
projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement
et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un
considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette
nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire
de grossesse exceptée en cas de viol. - See more at:
http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf
Le
projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement
et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un
considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette
nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire
de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne,
souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne
contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les
politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où
en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser
l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de
conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une
mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne
réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs !
Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie,
savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme
toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et
auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il
s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion
de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité.
Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est
victime notre système de santé. Les politiques de restrictions
budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par
le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une
centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans
certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus
de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré
comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par
l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques
en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux
femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er
Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des
rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux
élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements
seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de
Gauche et ex-députée.
- See more at:
http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf
Le
projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement
et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un
considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette
nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire
de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne,
souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne
contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les
politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où
en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser
l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de
conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une
mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne
réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs !
Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie,
savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme
toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et
auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il
s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion
de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité.
Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est
victime notre système de santé. Les politiques de restrictions
budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par
le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une
centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans
certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus
de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré
comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par
l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques
en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
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Le
projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement
et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un
considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette
nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire
de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne,
souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne
contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les
politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où
en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser
l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de
conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une
mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne
réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs !
Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie,
savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme
toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et
auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il
s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion
de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité.
Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est
victime notre système de santé. Les politiques de restrictions
budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par
le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une
centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans
certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus
de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré
comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par
l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques
en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux
femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er
Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des
rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux
élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements
seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de
Gauche et ex-députée.
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Le
projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement
et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un
considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette
nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire
de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne,
souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne
contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les
politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où
en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser
l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de
conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une
mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne
réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs !
Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie,
savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme
toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et
auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il
s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion
de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité.
Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est
victime notre système de santé. Les politiques de restrictions
budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par
le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une
centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans
certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus
de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré
comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par
l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques
en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux
femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er
Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des
rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux
élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements
seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de
Gauche et ex-députée.
- See more at:
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