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vendredi 4 mars 2016

Match 9/03 contre 49.3 ...tous dans la rue le 9 mars


La mobilisation sera-t-elle aussi forte que celle contre le CPE (contrat première embauche) ? En 2006, la jeunesse s'était vivement opposée à ce contrat de travail spécifique – finalement retiré – pour les moins de 26 ans, avec période d'essai de deux ans.
Le projet de loi Travail El Khomri est sans aucun doute  le plus important acte réformateur d’inspiration néo-libérale de notre gouvernement prétendument socialiste. 
Jusqu’à présent, le code du travail constituait le socle minimal de protection des travailleurs et l’accord d’entreprise ou de branche ne pouvait qu’en améliorer les dispositions. 
Sont visés : la durée du travail et la destruction dans les faits des 35 heures, la remise en cause du repos compensateurs, la réduction de l’indemnisation des licenciements et l’encadrement du pouvoir des juges. Sans oublier les conditions du dialogue social en entreprise puisqu’il est prévu que les syndicats minoritaires pourront contourner le droit d’opposition des syndicats majoritaires par un référendum d’entreprise.
Cette loi El Khomri remet en cause l’héritage de 150 ans de luttes sociales, syndicales et politiques de notre pays et opère le saccage des principes sociaux républicains issus du programme du Conseil National de la Résistance.
Pour William Martinet, président de l’UNEF, "le seuil de tolérance à la précarité des jeunes est largement dépassé. Concrètement, lorsqu’on regarde les 52 articles du projet de loi, on peut le résumer en trois points : travailler plus, gagner moins, tout en pouvant se faire virer plus facilement", dénonce-t-il.
Premier point de discorde : l’allongement du temps de travail des apprentis de moins de 18 ans. Il pourra être porté jusqu’à 10 heures par jour et 40 heures par semaine (au lieu de 8 heures par jour et 35 heures par semaines actuellement). Un "recul inacceptable qui remet en cause la protection des mineurs", selon l’UNEF, car elle pourra concerner des apprentis de 15 ans.
Second point de discorde : "le plafonnement des indemnités prud’homales qui va créer un ‘droit au licenciement abusif’ et qui va toucher directement les jeunes", explique William Martinet. En clair, en cas de licenciement abusif, vos indemnités seront plafonnées et fixées en fonction de votre ancienneté dans l’entreprise. Aujourd’hui, lorsque les juges prud’homaux considèrent qu’un licenciement est abusif, l’employeur est condamné à verser des indemnités qui tiennent compte de la situation personnelle du salarié (âge, famille, handicap, etc.).

Exemple de mesure qui pourrait toucher les jeunes diplômés avec la loi El Khomri : pour les salariés ayant moins de 5 ans d’ancienneté, le maximum d'indemnités ne pourra plus dépasser les 6 mois de salaire. Le but annoncé du gouvernement est "de lever un frein à l’embauche". Le risque selon les organisations étudiantes ? Faciliter le licenciement. "On est déjà précaire pendant nos études, puis précaire pendant l’insertion professionnelle. Avec ce projet, le gouvernement nous explique qu’il va falloir accepter d’être précaire toute notre vie", déplore l'UNEF.
Et enfin :  le plafond du temps de travail hebdomadaire. Si la semaine de travail reste à 35 heures, la durée maximale (et non pas obligatoire), elle, pourra être portée à 60 heures par semaine.


Et pourtant les cadeaux aux entreprises sont légions ! 30 milliards d’euros d’allègements de “charges” avec le CICE, recours au travail dominical, politique d'austérité des administrations publiques et sociales,  et maintenant avec cette loi le gouvernemant pense lutter  contre le chômage en transformant les travailleurs en précaires à vie, réduits à leur force de travail immédiate et remplaçables au prix d’une aggravation des inégalités et de la pauvreté !
L’objectif de notre gouvernement gestionnaire est de diminuer les statistiques du chômage au prix d’une destruction des droits sociaux des travailleurs et d’un accroissement de la pauvreté, au nom de la sacro-sainte compétitivité des entreprises.
Peu importe que la compétitivité des entreprises françaises ait été essentiellement affaiblie par une politique monétaire européenne désastreuse, par la morosité de la demande intérieure, par les difficultés de l’accès au crédit pour financer des investissements productifs et la recherche et développement, par l’absence d’harmonisation des normes sociales et environnementales en Europe, etc … 


La loi El Khomri n’est toutefois qu’une étape. Quelle est la suite ? La réponse est simple : la suppression du CDI fusionné dans un contrat unique à durée déterminée renouvelable et la fin du statut des fonctionnaires. C’est précisément la proposition de notre “éminent” prix Nobel Jean Tirole dont les propositions sont reprises en boucle au sein du MEDEF et de la droite. 
La modèle de “flexisécurité” qui est souvent scandé, à savoir la portabilité des droits sociaux en corollaire de la flexibilité du marché du travail n’est qu’un leurre car le rapport de force politique ne permet nullement d’envisager une amélioration des droits sociaux des travailleurs et l’indemnisation des chômeurs. L’objectif de la flexisécurité, comme le prouve l’ANI, est au contraire d’accompagner la précarisation du travail par des milliards d’euros de fonds publics donnés sans contrepartie au MEDEF afin qu’il oriente unilatéralement la politique de formation du pays et qu’il mette la main sur la prévoyance d’entreprise au prix d’une destruction de la Sécurité sociale des Français.

 La pétition "Loi travail : non merci !", lancée par des militants associatifs et des syndicalistes compte déjà presque un million de signataires ! et c'est la vraie bonne nouvelle depuis longtemps...Cette vague d’indignation,  les mouvements  ainsi que les initiatives qui éclosent ça et là font naitre à nouveau l'espoir dans une France morose et consternée qui assiste impuissante au saccage de tout ce qui avait été construit par le Conseil National de la Résistance...
La menace de brandir le 49-3 pour faire voter cette loi ultra libérale montre à bien des égards la nervosité et la fébrilité d'un gouvernement presser d'en finir avec les valeurs que la gauche à toujours porté, jusqu'en 2012 ! 



Alors le 9 mars on fait gréve, 
on descend dans la rue 
pour dire notre ras le bol d'une politique ultra libérale 
et dire non à la casse du code du travail.
13 h place de la Victoire Bordeaux  


dimanche 11 janvier 2015

Je suis Charlie ...pas dupe

Oui je vais aller marcher tout à l'heure comme sans doute des millions de Français à travers tout le pays mais je vais marcher le cœur lourd et mon âme citoyenne en peine

Bien sûr qu'il fallait un mouvement, un élan national unanime face à la barbarie, à ces assassinats politiques commit au siège de Charlie Hebdo. Car c'était bien des assassinats politiques fomentés par des courants religieux islamistes, obscurantistes et fascisants.
Ils ont voulu tuer Charlie, tuer une liberté de ton et d'expression, une pensée libre, anticonformistes, laïque, antiraciste et humaniste.
Ils ont voulu assassiner la République, nos droits de l'homme, nos luttes pour l'égalité et la démocratie...
J'irais marcher tout à l'heure...mais je suis en colère.... 
Ce fanatisme, cette barbarie n'est pas nait brusquement, et trouve ses explications dans les racines du libéralisme...
Ma France des Lumières depuis plus de 30 ans a laissé ouverte la porte à tout les néolibéraux qui n'ont eu de cesse que de démanteler morceaux par morceaux l'édifice construit pierre après pierre de notre République. Nos fondamentaux s'effondrent, nos libertés s'amenuisent, les communautarismes explosent laissant les racistes triompher, le capitalisme à mis le turbo, l'état s'amaigrit de jour en jour, les services publics sont démanteler,....

Et on voudrait me faire avaler la couleuvre de l'unité nationale, pour dénoncer en masse la barbarie, pour protéger les libertés...aux cotés de ceux mêmes qui font le contraire ?
Les politiques n'ont rien fait depuis plus de trente ans pour éradiquer le racisme, pour l'intégration de tout ceux qui dans les années 60 sont venus en masse.
Les vieilles peurs, les intégrismes de tout poils, la dépolitisation de notre pays arrangent les classes politiques de droites comme de gauches, les mêmes toujours les mêmes continuent à s'enrichir outrageusement alors que la précarité et la pauvreté galopent comme jamais vers les sommets ....

Oui j'irais marcher tout à l'heure mais le pas lourd et pesant...

J'irais marcher en pensant que Hollande et Valls défileront AU NOM DE L'UNITE NATIONALE aux  côtés du néo-franquiste Mariano Rajoy, qui combat en Espagne le rétablissement de la République, qui fait une loi pour criminaliser les mouvements sociaux, qui s’en prend aux droits des femmes... 
J'irais marcher en pensant que Hollande et Valls défileront AU NOM DE L'UNITE NATIONALE aux cotés de Netanyahou. Cela n'est-il pas une provocation absolue, irresponsable, anti-laïque, anti-républicaine, anti droits de l’homme, anti-démocratique ? C'est à vomir.
J'irais marcher en pensant que Hollande et Valls défileront AU NOM DE L'UNITE NATIONALE aux  côtés de Merkel, Cameron, Renzi, pourfendeurs de l’Union Européenne? 

Ils vont défiler en bons valets en continuant tranquillement à blanchir l"argent des armes des états voyous, des états islamiques, extrémistes, obscurantistes je cite le Qatar, l'Arabie Saoudite, les 2mirats... Ces pays qui piétinent sans honte les droits de l'homme et des femmes, qui combattent les laïques... ces mécréants...
Les terroristes, les assassins de Charlie Hebdo ont été formés ? armés par qui ? qui entraine et fabrique ces hommes devenus des bêtes fanatiques et sanguinaires  ??? La France pays des droits de l'homme mais....pour les clubs de foot c'est avec de l'argent terroriste que l'on forme les équipes gagnantes !

J'irais marcher en me demandant si à la défense des libertés fondamentales et de la libre expression on ne pourrait rajouter une marche CONTRE l'hypocrisie nationale ? L'hypocrisie de ceux qui pleurnichent  aujourd’hui sur la République menacée et qui n’ont cessé d’attiser les haines raciales, de stigmatiser l’autre, de détruire toute forme nouvelle de progressisme

Moi aussi tout à l'heure #jesuischarlie mais un Charlie pas dupe, un Charlie vigilant et en colère.

samedi 14 juin 2014

Le gloubiboulga idéologique du Front National

Le FN est  un grand fourre tout qui se nourrit d'idées de gauche, de droite, du Front de Gauche. Il s'oppose à la fois aux politiques d'austérités, se place sur la défense des services publics, souhaite réindustrialiser le pays, remet en cause les traités européens, rappelle même le Non massif des Français au Référendum de 2005...Il réussit ainsi   à s'adresser à toutes les classes sociales. Récupération politique de tout ce qui sont ou furent des victoires populaires.
Le Front National agrège également des idées développées par Europe Écologie les Verts sur les questions de sécurité alimentaire et sanitaire, de respect de l'environnement voire même de bien être animal ( le halal !). Haine de l'impôt, protectionnisme économique, relance de l'emploi par la hausse du pouvoir d'achat, le Front National n'en oubli pas pour autant son vieux fond de commerce raciste et xénophobe en maquillant son discours. Il ne dit plus "la France aux français" mais souhaite donner la priorité au peuple de français, en disant vouloir à la fois maitriser les frontières et cette immigration dite anarchique, en mettant en avant la défense de nos modes de vie...
Ouvriers et commerçants, employés, se retrouvent dans ces discours qui remettent en cause le système politique actuel, puisque le FN fait croire que lui est hors système ! Le FN récupère tout les électorats traditionnellement de gauche, mais aussi traditionnellement de droite en même temps, avec des slogans fourre tout, gloubiboulga idéologique radicalisant les idées qu'il affiche, amalgamant le social et la xénophobie, l’Europe des nations avec le nationalisme etc...Le FN tire sa force de ce fourre tout idéologique. Approche pseudo-sociale et approche nationale-xénophobe se côtoient ouvertement.

Pour contrer cette purée nauséabonde il faudrait clairement et simplement assumer une conception de la société avec une rupture franche avec notre système politique et institutionnel en crise. Réaffirmer clairement le droit à la diversité des cultures, combattre les discriminations et toutes les formes de discriminations, réaffirmer clairement et éduquer à la démocratie, réaffirmer clairement un choix de société en rupture totale avec l'idéologie libérale et capitaliste.
Assumer pleinement une autre conception de la société, faisant droit à la diversité des cultures, associant analyse de classes et reconnaissance des communautés, portant la solidarité entre Français et étrangers, combattant toutes les discriminations…Mais aussi gratuité, bien commun, solidarité.Il faut redonner l'espoir au peuple, il ne faut plus que le FN soit le débouché politique à tous les mécontentements sociaux. Mécontentement sociaux qui concernent aussi les mouvements de contestations syndicales dont les sympathisants, au risque de choquer, ne sont pas si imperméables que cela aux idéologies racistes. Ces mêmes sympathisant qui prônent la résistance à la pensée libérale et aux conséquences dramatiques du turbo-capitalisme et de ses dégâts collatéraux.

Un peu d'analyse politique et d’honnêteté intellectuelle doivent permettre de mieux positionner une politique alternative aux discours des UMPS et de rétablir clairement le curseur à gauche. Il est évident aussi que la mélasse dans laquelle le PS patauge en bafouant ses vieux militants aux plus profond de leurs valeurs républicaine, n'aide pas les citoyens à y voir plus clair ! Quand au PCF qui tricote à sa guise ses accords avec ce même PS, contribue évidemment à l'illisibilité de la  politique incompréhensible d'un gouvernement dit de gauche, et alimente du même coup l'hémorragie de ses principaux supporters vers le FN.







lundi 31 mars 2014

Bravo Philippe Buisson ! ..mais...attention !

Au nom du Parti de Gauche de la 10ème circonscription, je félicite Philippe Buisson et ses colistiers à l'élection municipale ce dimanche 30 mars 2014.

Sans les voix de gauche (PG, LIBRES etc...) et sans les voix de l'UDI et de quelques personnalités de droite, pour faire barrage au Front National, l'élection de M. Buisson n'aurait pas été possible.
Avec les 40,9% de M.Garraud- UMP et les 10,29 % de M. Malherbe du FN c'est en réalité une victoire toute relative et à la faveur de cette triangulaire que M.Buisson et sa majorité PS doivent son élection.

Notons au passage que le taux d'abstention de ce second tour culmine à 38,21 %, contre 39,42% au premier tour.
Et avec 49,60 % des voix c'est un recul par rapport à 2008. 

Le Parti de Gauche de Libourne espère que Philippe Buisson tirera des enseignements de cette victoire cependant relative.
Le score socialiste en Gironde est en chute avec plusieurs villes qui basculent à droite ce dimanche soir: Pessac, Saint-Médard-en-Jalles, Coutras, Pauillac ou encore Castelnau-de-Médoc. Surprise aussi à Lacanau, Mios, Andernos-les-Bains, Vendays-Montalivet.
C'est pour nous un vote sanction envers le Parti Socialiste qui mène depuis de nombreuses années une politique proche de celle de la droite : DSP, PPP, Vidéosurveillance, Avec le risque pour les électeurs de ne plus faire la différence entre gauche et droite....

Le Parti de Gauche espère que l'exécutif du gouvernement Hollande ne restera pas sourd au message des électeurs. Refus de l'austérité, augmentation de la fiscalité indirecte, flexibilisation du marché du travail, réduction à marche forcée des déficits publics, baisse massive du coût du travail : nous ne contestons pas seulement ces solutions parce qu’elles risquent de fragiliser notre modèle social et nos services publics, nous les contestons parce qu’elles s’avèrent inefficaces pour relancer l’activité économique ! Le parti de gauche appelle à se joindre à la manifestation du 12 avril à Paris pour le Ras le bol de gauche à l'appel de nombreux partis et associations de Gauche.

Il faut aujourd'hui recomposer la gauche, il faut que M. Buisson change de cap y compris dans la gestion de la ville de Libourne. Nous voulons tous une ville plus fraternelle, dans laquelle chacun trouve sa place. Nous y serons attentifs.

mardi 4 mars 2014

2014...1914 et Droits des femmes


2014.....1914....

Il y a 100 ans la première Guerre Mondiale a éclaté. Il va s'en dire que cette guerre là, a joué un rôle déterminant dans l'émancipation sociale, intellectuelle, professionnelle des femmes.
Leurs hommes partis faire la guerre,  les femmes restent la seule main d’œuvre disponible.

Elles ont très rapidement accédé à des postes à responsabilité, s'intègrent dans le monde du travail et gèrent seules les finances du foyer.

De nombreux signes témoignent de ce changement, dans tous les domaines : les jupes et les coupes de cheveux raccourcissent, le mouvement des suffragettes qui milite pour le droit de vote des femmes prend de l'ampleur...

Pourtant, à la fin de la guerre, le retour des hommes s'accompagne pour un temps d'un retour à la « normale », difficilement supportable pour des femmes qui pensaient désormais occuper une tout autre place dans la société.

Les mentalités évoluent lentement.

Si j'ai voulu mettre en relief le 100 ème anniversaire commémoratif de la première guerre mondiale, c'est parce qu'avec le CIDFF, Cinéphiles en Libournais, la LDH nous présentons le film « La vie domestique »:

Ce film n'est pas sans m'évoquer ce même milieu bourgeois et convenu dont parle Simone de Beauvoir en 1958 dans les Mémoires d'une jeune fille rangée. Elle y dresse sans concession un tableau de la condition féminine de l'époque.


Les choses et les mentalités ont-elles changées ? La condition des femmes a-t-elle évoluée ? Oui indéniablement. Cependant il reste du chemin à faire... Égalité des salaires, partage des tâches ménagères, éducation des enfants, même dans la précarité il n'y a pas d'égalité : sur les 8 millions de pauvres vivant sous le seuil de pauvreté en France 5 millions sont des femmes et avec elles des bataillons d'enfants...

Je voudrais livrer ceci à votre réflexion : et si changer le monde passait aussi par un changement dans le partage des richesses....le turbo capitalisme, la finance internationale gangrènent le système mondial. Aujourd'hui 200 familles au travers le monde, se partagent à elles seules, ce que gagnent 3 milliard 1/2 de personnes...

Nous devons tous ensemble œuvrer à rétablir un équilibre entre les peuples, mais aussi entres les hommes et les femmes pour un monde plus juste...

dimanche 9 février 2014

Libourne : les mêmes élus aux manettes !

Haro sur la liste proposée par le maire : Sur 35 candidats que comporte une liste pour les municipales à Libourne, 18 noms figuraient déjà en 2008...Donc loin des 50% de changement prévu et promis par Philippe Buisson.

Ce seront encore les même adjoints que l'on retrouvera avec 2 changements pour remplacer Dominique Lemoine-Lapaire (patrimoine) partie car terriblement déçue par l'absence de transparence et le manque de démocratie locale, et Jean-Marie Martens l'adjoint aux finances qui prend sa retraite promise dès 2011.

Avec Messieurs Rousset, Arcaraz, Galand, et probablement Sirdey qui prendra la place de Martens, et  Pouzargue, Venayres, Hardy, Bernadeau, et sans doute Laurence Rouède (ancienne responsable de cabinet ayant suivi Gilbert Mitterrand à la CALI) prenant là aussi une place d'adjointe pour les dames, la ville de Libourne restera fidèle à M.Buisson ! 
Pas de changement donc mais avec Hollande nous y sommes habitués : pas de changement dans la rupture, une belle continuité ! La gestion de la ville telle qu'elle est aujourd’hui est bien assurée !
Le pouvoir est confié aux mains des mêmes à 80% .

Un parti de cumulards ! 59% entameront vaille que vaille le 3ème, 4ème, 5ème voire 6ème mandat ( 2 entament leur 3ème mandat, 5 leur 4ème, 1 son 5ème et 2 leur 6ème...

Que dire de la représentation politique ! 3 places au PCF ! (il me semble que le PCF avaient demandé 5 postes)  loin de la représentation réelle selon les scores ! Ce sont ceux qui distribuent en même temps que le programme de Philippe Buisson,  -certes un peu honteusement et en douce-  le fameux "Chiffon Rouge" ce petit canard PCF qui vilipende « la politique d'austérité », "le MEDEF et son soutien aux défenseurs locaux de l'ANI destructeur du code du travail, le travail de sape du Parti Socialiste et de notre président Hollande". On se demande s'ils n'ont pas des crampes un peu mal placées, ces élus/candidats du PCF à force de faire le grand écart...mais ils s'accrochent à leur poste comme la moule à son rocher.

La représentation du MRC est largement sur-estimé avec 2 postes :  Avec un élu de la République, Patrick Nivet le gifleur de femme qui avait été contraint en 2012 de retirer sa candidature aux élections législatives....

EELV y est représenté avec 2 dissidents sans dossards qui se présentent sur la liste PS alors que le comité local d'EELV  avait voté à 74% en faveur de la liste LIB.RES. 
Le logo EELV revient bien sûr à LIB.R.E.S.
Joël Rousset repart donc pour son 4ème mandat avec une inconnue dans les rangs EELV qui n'était venue que pour conforter Rousset dans le choix de rester avec le PS et qui du même coup se retrouve à ses côtés...chargée de mission à la Région pour le groupe EELV, c'est Philippe Buisson, conseiller Régional, qui l'a ramené dans son écurie. 
Il pourra s'assurer ses services sans aucune opposition ! Employée par la Région et élue à la mairie, sa marge d'expression sera bien verrouillée !
Isabelle Hardy, Michel Galand, Gilbert Mitterrand, Patrick Nivet, Catherine Bernadeau, ne sont même pas résidents à Libourne. Location de garage pour certains, parc immobilier pour  d'autres...

Pour ceux qui ont déjà fait un mandat :
41% entame leur 2ème mandat ce qui veut dire que 59% font leur 3èm, 4èm, 5èm voire 6ème mandat ( 2 entament leur 3èm mandat, 5 leur 4èm, 1 son 5èm et 2 leur 6èm, si je ne me suis pas trompée).
L'âge moyen est de 51 ans, ramené à 45 ans pour les nouveaux et majoré à 57 ans pour les anciens.
Représentation politique : PS : 18
Société Civile : 8 dont une prise de guerre du PS à Alterlib' !
Société civile déguisée : 2 (deux d'entre eux l'ont été encore il y a peu de temps)

Décidément le vrai changement, la véritable ambition pour Libourne c'est le Partage Ambitieux -et non une ambition partagée !- avec les citoyens que nous proposons avec LIB.R.E.S, LIBournais pour un Rassemblement Écologique et Social !



dimanche 2 février 2014

Tes lois dans mon utérus...

Anti-IVG, euthanasie ou mariage pour tous, le retour des catholiques conservateurs.
 En France les intégristes de toutes les religions sont à l'offensive et les droits des femmes, dont le droit à l'IVG, sont leurs premières cibles. 

Les anti-avortement sont principalement composés de mouvements proches des milieux catholiques les plus conservateurs. Ils sont soutenus par une partie de l’opposition de droite et par l’extrême-droite. Ce sont les mêmes qui ont manifestés contre le mariage homosexuel et la procréation médicalement assistée. Ils sont aussi décidés à donner de la voix dans le débat à venir sur l’euthanasie. 

En bref, ils veulent se faire entendre sur toutes les questions éthiques.
Plusieurs milliers de militants anti-avortement ont défilé, dimanche 2 février à Paris et à Lyon. Le pape François a apporté son soutien à cette marche. Plusieurs évêques y ont participé. Ces manifestants souvent venus en famille, parfois avec de très jeunes enfants, ont salué l’exemple espagnol. Car, en Espagne, à la suite de la pression des milieux catholiques, le gouvernement a proposé de quasiment supprimer le droit à l'avortement.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un référendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG...
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.

Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes. - See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.I1euOBM7.dpuf
Véritable recul historique en Espagne qui risque de gagner toute l'Europe...
Le projet de loi du gouvernement conservateur de Mario Rajoy prévoit d'interdire l'accès à l'avortement. Il existe deux exceptions: en cas de viol ayant fait l'objet d'une plainte et en cas de danger physique ou psychique pour la femme. Ce texte devrait arriver au parlement dans les prochains mois.
Les associations féministes, les professionnels de la planification familiale, et les partis de gauche, ont parlé d’un retour en arrière de 30 ans. Pourtant, l’Espagne avait marqué de nombreuses avancées sur les questions de société: la lutte contre le fléau de la violence conjugale, la parité homme-femme ou le mariage homosexuel. Mais, c’était à l’époque du précédent gouvernement dirigé par le socialiste José Luis Zapatero. Aujourd’hui, les conservateurs au pouvoir, poussés par les catholiques conservateurs, opèrent un virage à 180 degrés. Un revirement guidé par des raisons électorales avant les élections européennes.

Le cas de l’Espagne montre qu’aucun droit n’est acquis. Les avancées sur les questions de société ont radicalisé une partie des milieux les plus conservateurs. Dans le cas de l’avortement, les opposants avancent des raisons dogmatiques, parlant de "droit à la vie". Ça se remarque notamment dans le discours des très jeunes manifestants anti-IVG, qui crient des slogans, sans toujours les comprendre. C’est pourtant oublier une réalité. Celle des droits individuels. Et, précisément de la liberté des femmes à faire un choix.
VIGILANCE
Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol. - See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf
Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
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Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
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Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
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Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
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